Le chiffre de la semaine: 25 à Sardige...
Ce fut une belle journée....
Et pour la première fois, vingt cinq randonneuses et randonneurs ont allègrement foulés les sentiers de Mézilhac à Lachamp Raphaël en passant par Sardige
Au départ de Mézilhac, nous étions 22, venus de Gluiras, St Fortunat, Le Cheylard pour les plus proches, du Teil, des rives de la Méditerranée pour le rédacteur de service, mais aussi du petit hameau de France, situé quelque part en Haute Loire.
Retenues à Gluiras par un rendez-vous fort important, Marcelle et Régine, accompagnée d'une amie, nous retrouverons à Sardige. C'est ainsi que, vingt cinq personnes, une première pour l'association, ont pu profiter d'un soleil radieux, tout au long de cette journée.
En chemin, Babeth, venue en famille, reconnue bien aisèment, qu'ici, "c'était quand même moins dur qu'aux Trois Becs!".
Certaine vice-présidente, ravie de cette randonnée, photographia, tel chaton au fenestron d'une maison de pierre, tel un four à pain toujours en utilisation, un bosquet de fayard aux couleurs automnales...
Les sorbiers et sureaux étalaient à nos yeux émerveillées de somptueuses baies rouge vif. Lentement, l'automne s'établit sur le plateau ardéchois. Les vieilles sentes au tapis de feuilles rouges et jaunes s'étonnèrent parfois des conseils avisés que Jean Yves prodiguait à un petit Justin aux yeux rieurs, notre pastre des coulemelles d'un jour....
En chemin, Babeth, venue en famille, reconnue bien aisèment, qu'ici, "c'était quand même moins dur qu'aux Trois Becs!".
Certaine vice-présidente, ravie de cette randonnée, photographia, tel chaton au fenestron d'une maison de pierre, tel un four à pain toujours en utilisation, un bosquet de fayard aux couleurs automnales...
Les sorbiers et sureaux étalaient à nos yeux émerveillées de somptueuses baies rouge vif. Lentement, l'automne s'établit sur le plateau ardéchois. Les vieilles sentes au tapis de feuilles rouges et jaunes s'étonnèrent parfois des conseils avisés que Jean Yves prodiguait à un petit Justin aux yeux rieurs, notre pastre des coulemelles d'un jour....
Le repas, tiré du sac, fut pris dans la bonne humeur, à quelques encablures du "Suc Raphaël", où selon la légende locale, enfin d'après les dires de certain, mais ce fait est loin d'être avéré, le grand peintre de la Renaissance aurait trouvé refuge, dans "La champ, au pied du Suc"! D'où le nom du village proche....
Au cours de ce repas, les hommes du groupe eurent droit à une distribution de petites graines succulentes, dont nous n'avons pas vraiment compris l'efficacité! Enfin, presque... Jean Yves, lui, eut droit à une noisette aux vertus magiques!
La joyeuse troupe se remit en marche en direction de Lachamp Raphaël, sous la chaleur toujours plus forte du soleil d'octobre.
Plus loin, à la croisée des chemins, au pied du Montivernoux, on crut reconnaître un four à pain du paléolithique....
Bref, cette randonnée se déroula sous le signe de la galéjade...
Fatiguées mais heureuses, deux cousines découvrirent au détour du sentier une station météo locale ancestrale, ponctuée de dicton aussi vrai que nature...
Puis, après avoir passé plusieurs passages à troupeaux, le sentier traverse une steppe où les frondrières eurent raison de la cheville d'une de nos randonneuses. Aucune imprudence, seulement un pied malencontreusement posé dans une ornière....
Cet incident nous permit de mettre en pratique nos connaissances de la chaise à mains et c'est ainsi que Annick, retrouva le bithume, où son Jean prévenant, l'attendait au volant de son véhicule...
Pourtant, une belle journée, où la bonne humeur régna toute la journée...
Au cours de ce repas, les hommes du groupe eurent droit à une distribution de petites graines succulentes, dont nous n'avons pas vraiment compris l'efficacité! Enfin, presque... Jean Yves, lui, eut droit à une noisette aux vertus magiques!
La joyeuse troupe se remit en marche en direction de Lachamp Raphaël, sous la chaleur toujours plus forte du soleil d'octobre.
Plus loin, à la croisée des chemins, au pied du Montivernoux, on crut reconnaître un four à pain du paléolithique....
Bref, cette randonnée se déroula sous le signe de la galéjade...
Fatiguées mais heureuses, deux cousines découvrirent au détour du sentier une station météo locale ancestrale, ponctuée de dicton aussi vrai que nature...
Puis, après avoir passé plusieurs passages à troupeaux, le sentier traverse une steppe où les frondrières eurent raison de la cheville d'une de nos randonneuses. Aucune imprudence, seulement un pied malencontreusement posé dans une ornière....
Cet incident nous permit de mettre en pratique nos connaissances de la chaise à mains et c'est ainsi que Annick, retrouva le bithume, où son Jean prévenant, l'attendait au volant de son véhicule...
Pourtant, une belle journée, où la bonne humeur régna toute la journée...