Le rocher du Cassenoix
Huit Légrémis au départ pour la 1re randonnée de l’année, destination les Cévennes ardéchoises, « le Col d’Aizac » pour faire l’ascension du Rocher de Cassenoix à 854 m d’altitude.
Après quelques passages dans le brouillard sur la route des crêtes, il se dissipe peu à peu, et finalement, nous bénéficierons de trouées bleues et de rayons de soleil pendant la randonnée.
Le village d’Aizac est construit au pied d’un volcan, la coupe d’Aizac.
Il est classé site majeur dans le cadre du Pays des jeunes volcans d’Ardèche. Un sentier d’interprétation autour de la coupe est facilement accessible. À découvrir une fois prochaine…
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Dans le village, l’originale fontaine en dôme de pierres sèches, symbolise le volcan.
Pour situer géographiquement, le Col permet le passage entre la vallée de la Volane et la vallée de la Bezorgues.
Originalité : Nous découvrons un peu par hasard, une source d’eau minérale naturellement gazeuse et délicieuse, un gobelet est à disposition, c’est l’occasion de favoriser notre digestion après les fêtes de fin d’année. Cette eau est commercialisée par la société « La Grande Source du Volcan ».
Nous débutons par une belle descente sous les châtaigniers, le châtaignier est partout présent, témoin de l’activité agricole jadis intense, nous poursuivons la découverte de jolis hameaux, de murets anciens, un beau patrimoine.
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Proches du rocher bien visible, soudain le doute, heureusement les vestiges du passé, un vieux «tube Citroën» ne peuvent s’oublier… C’est un repère, mais faut-il continuer tout droit ou bien tourner ? Je ne me souviens pas… Et nous montons jusqu’à un cul-de-sac ! Demi-tour…
En bons coopérateurs, les jeunes munis de leur téléphone intelligent nous indiquent le bon chemin !
Les Légrémis sont conciliants, enfin je reconnais ce chemin, ce sentier… Et nous débouchons sur une prairie pâturée, à traverser jusqu’au rocher. Une belle bergerie en toiture de genets est à mi-pente, heureusement le Patou croisé lors de la reconnaissance n’est pas là, ni le troupeau. Belle vue sur le Tanargue et le Rocher d’Abraham.
Le vent se lève, nous ne pique-niquerons pas au Rocher, mais plus bas sous les arbres un peu plus abrités. Nous traversons des ruisseaux, nous passons à travers des arbres couchés sur le sentier, c’est parfois un peu glissant.
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Nous arrivons en début d’après midi au col et décidons de rejoindre Antraigues pour nous désaltérer d’une boisson chaude ou autre.
Cérémonie du thé (dixit Régine) et fous rires, en effet, des thés aux saveurs originales sont servis dans ce charmant petit bistro, ainsi qu’un pot de miel de châtaigniers (seules les personnes présentes pourront comprendre) !
Belle reprise et bonne humeur pour cette 1re randonnée 2025, Je vous souhaite une belle année en randonnées joyeuses avec les Légrémis.
Corrine